Les actualités de 2015...

et quelques pensées vagabondes...

Dimanche 27/12/15

Je ne prétends nullement, en vous livrant le cours ponctuel de ma pensée, faire œuvre de philosophe ou de scientifique ou quoi que ce soit de ce genre. Ce n’est qu’un peu de verbiage, une insignifiance en somme, que je livre à votre réflexion. Cela ne bouleversera certes pas le cours du monde, je le sais, mais là n’est pas mon objectif. A de certains moments me viennent ces pensées simples, et je vous les offre en partage…(voir "A travers champs N°4")

Samedi 10 octobre 2015

Je ne puis tout exprimer sur cette page d'accueil, ça devient trop long : RV sur mon Journal.

Vendredi 9 octobre 2015

Ne trouvez-vous pas étonnant que le Pape pût être candidat au Prix Nobel de la Paix : la Paix n'est-elle pas sa mission principale ? Christ n'enseignait-il pas la paix entre les hommes de bonne volonté ? D'ailleurs, c'est un mot qui revient souvent dans la bouche des papes...

Ne trouvez-vous pas insolite que l'on décerne un prix Nobel de la Paix par les temps de guerre que nous vivons ?...C'est bien. Mais je me souviens de ce vers d'un poète de la Renaissance (déjà cité dans ces colonnes) : "Gordes, aurons-nous point la paix ?..."

Oui, frères humains, aurons-nous point la paix un jour sur cette terre ? Faudra-t-il donc toujours attendre qu'elle nous vienne par la mort seulement ?...Je vous parle d'amour, et c'est la haine qui déchire les coeurs...Quel désolant spectacle que celui de cette humanité enragée qui se détruit, encore, et toujours, sans que raison s'y trouve...Mon Dieu ! J'en ai le coeur crevé...

Mercredi 7 octobre 2015

Pour ce qui est de cette question que je vous ai posée hier, sa formulation délimite son champ : le théâtre. J'aurais pu nous interroger ainsi : "Notre vie n'est-elle pas une farce ?". Bien sûr votre réflexion vous est personnelle et votre réponse aussi. Il y a gros à parier que bon nombre d'entre nous pensent : "Tragicomique". Pour ma part, j'observe que tous nous ne cessons de jouer des personnages (comme au théâtre) : M.Hollande joue celui de Président de la République, votre banquier vous reçoit dans son personnage de banquier, celui de l'avocat dans le sien,... ainsi jusque dans le moindre de nos actes sociaux...et, peut-être, familiaux. Vivre en société nous l'impose, sans doute. Je trouve au fond assez pitoyable cette comédie des grands de ce monde, comme des moins grands. L'ennui, c'est que ce n'est pas drôle. Pour aller au fond de ma pensée, tout cela est absurde. Notre humanité est absurde, au sens où s'il est un dessein derrière tout ça, nous n'en avons pas connaissance, et ne savons même pas s'il y en a un. Alors, nos gesticulations lamentables, cette course à l'argent, à la consommation, ces discordes de politiciens et ces guerres, ces querelles pour des queues de cerises ?...Ne courons-nous pas à notre perte ? C'est peut-être cela, finalement, le dessein ?...Imaginons quelque démiurge nous considérant du haut de notre ciel : que penserait-il ? Le spectacle l'amuserait-il ou l'affligerait-il ?...

Mardi 6 octobre 2015

Toute question suppose une réflexion qui l'a fait naître. Ce qui est intéressant alors, ce n'est pas tant la ou les réponses possible(s) à cette question que ce qu'elle met en branle, la manière dont s'organisent les réflexions qui vont amener à cette (ces )réponse(s), l'attitude mentale qui fera avancer la  pensée. A ce propos, je me suis posé cette question : considères-tu la vie plutôt comme une comédie ou plutôt comme une tragédie ?...

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Dimanche 4 octobre 2015

La beauté du monde est sous tes yeux et tu ne la vois pas...

Cultivons le détachement ; hélas ! trop sont dans l'indifférence...

Pour faire bref : l'essentiel se trouve dans les publications de mes oeuvres : publication, en mai de cette année, de deux plaquettes de poésie : Poussière et Poèmes à une elfe. Vous en trouverez le descriptif dans "Mes oeuvres-Parution".

Je travaille en ce moment sur l'écriture à quatre mains d'un roman policier avec mon ami Alain TRICHET, ainsi que sur la rédaction d'une biographie qui m'a été commandée.

Au fait : merci à vous qui continuez de me lire ici, malgré que je n'apporte plus guère de nouveautés dans ces colonnes : mais je m'en suis expliqué.

Du rire :

J'aime rire, j'aime faire rire, sans doute parce que rire est le propre de l'homme. Mais je déteste l'ironie et ceux qui la professent, pour ce qu'elle est méchanceté, se moquant d'autrui ; faire rire des travers de l'autre est facile et lâche, et la blessure infligée parfois ineffaçable. Faire rire aux dépens de l'autre dévoile le mépris souverain qu'on lui témoigne, et un sentiment d'assurance qui confine à l'orgueil. Pourtant, souvent le rire naît du malheur de son prochain (voir Bergson), sans méchanceté forcément. Néanmoins, je réserve le plus profond mépris à celui qui s'autorise à s'attirer les grâces de la compagnie au détriment de son semblable, un peu comme le roi au centre de sa cour. Car, à ce compte-là, nul ne peut prétendre échapper à ses traits cruels, surtout pas celui qui les décoche. Pour ma part, je suis tout aussi capable de pratiquer une ironie cinglante, cependant, je me l'interdis.

Du jugement :

Je me réserve le droit d'avoir une opinion sur toute chose, une euvre littéraire, par exemple, de la juger, en somme, et aussi de garder cette opinion par devers moi. Car, qui suis-je pour juger mon frère ?...

De l'entêtement :

L’entêtement mène à la ruine, bien souvent.

L’aveuglement en est sa forme extrême, suicidaire sans nul doute.

C’est hélas ! à grande échelle, un spectacle bien affligeant : n’est-ce pas celui que nous offre notre société ?...

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